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Résumé de l’actualité
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Le 10 juin 2025, les États-Unis ont sanctionné cinq individus et cinq fausses œuvres de bienfaisance qui envoyaient de l’argent au Hamas tout en prétendant mener des actions humanitaires. Le gouvernement a également ciblé une œuvre de bienfaisance frauduleuse liée au Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP). Ces organisations fictives opèrent en Turquie, en Algérie, aux Pays-Bas, en Italie et dans les territoires palestiniens (Cisjordanie et Gaza). Les personnes sanctionnées comprennent les dirigeants de ces fausses œuvres de bienfaisance. Les États-Unis ont souligné leur engagement à empêcher les groupes terroristes d’abuser du secteur à but non lucratif tout en veillant à ce que les organisations humanitaires légitimes puissent poursuivre leur travail important. Les sanctions ont été autorisées en vertu de l’Ordre exécutif 13224, qui cible le financement du terrorisme. Le Département d’État a souligné que les organisations fiables et sûres doivent être protégées afin que l’aide humanitaire réelle puisse atteindre ceux qui en ont besoin.
Source : Département d’État américain
Notre commentaire
Contexte et arrière-plan
Le Hamas et le Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP) sont tous deux désignés comme des organisations terroristes qui ont mené des attaques contre des civils. Comme la plupart des banques et des institutions financières ne travaillent pas avec des groupes terroristes connus, ces organisations ont besoin de moyens créatifs pour obtenir de l’argent. L’un de leurs stratagèmes préférés consiste à créer de fausses œuvres de bienfaisance qui prétendent aider les orphelins, fournir des soins médicaux ou soutenir l’éducation. Les donateurs bien intentionnés pensent qu’ils aident des personnes dans le besoin, mais leur argent va en réalité à l’achat d’armes, au paiement de combattants et au financement d’opérations terroristes. Ces fausses œuvres de bienfaisance utilisent souvent de véritables crises humanitaires comme couverture, rendant plus difficile pour les autorités de les repérer et plus facile de tromper les donateurs compatissants.
Analyse d’expert
Ce cas révèle comment le financement moderne du terrorisme exploite la générosité des gens et les vulnérabilités du système mondial des organismes à but non lucratif. Les groupes terroristes sont devenus sophistiqués dans la création d’œuvres de bienfaisance qui semblent légitimes sur le papier. Ils s’enregistrent auprès des gouvernements, créent des sites Web professionnels et effectuent même un certain travail de bienfaisance réel pour maintenir leur couverture. Opérer dans plusieurs pays les rend plus difficiles à attraper – une œuvre de bienfaisance enregistrée en Turquie peut collecter des dons aux Pays-Bas, faire transiter de l’argent par l’Italie et livrer des fonds à Gaza. Au moment où les autorités d’un pays deviennent méfiantes, l’argent a déjà traversé plusieurs autres pays. L’implication de pays européens montre que le financement du terrorisme n’est pas seulement un problème du Moyen-Orient, mais nécessite une coopération mondiale pour l’enrayer.
Données supplémentaires et faits
Selon les experts du financement du terrorisme, les fausses œuvres de bienfaisance détournent chaque année entre 100 et 300 millions de dollars vers des organisations terroristes dans le monde. Le Hamas a besoin à lui seul d’environ 30 millions de dollars par an pour maintenir ses opérations militaires. Ces organisations caritatives fictives conservent généralement 10 à 20 % des dons pour des actions humanitaires réelles afin de maintenir leur couverture, envoyant le reste aux groupes terroristes. Le Groupe d’action financière rapporte que les organisations à but non lucratif sont la troisième méthode la plus courante pour le financement du terrorisme, après la contrebande d’espèces et les réseaux bancaires informels. Depuis 2001, plus de 50 œuvres de bienfaisance dans le monde ont été fermées pour leurs liens avec le terrorisme, gelant plus de 150 millions de dollars d’actifs. Le défi est que pour chaque fausse œuvre de bienfaisance fermée, de nouvelles émergent rapidement sous différents noms.
Actualités connexes
Cette action s’inscrit dans une répression plus large des réseaux de financement du terrorisme. En 2024, les autorités européennes ont arrêté 25 personnes liées à un système de fraude caritative soutenant l’État islamique. L’Allemagne et la France ont introduit des réglementations plus strictes obligeant les œuvres de bienfaisance à prouver la destination de leurs fonds. Pendant ce temps, les organisations humanitaires légitimes dans les zones de conflit signalent que le renforcement de la surveillance rend leur fonctionnement et leur aide aux civils plus difficiles. Les Nations Unies estiment que les mesures antiterroristes trop larges ont réduit de 30 % le financement humanitaire dans les zones de crise. Certains pays ont créé des “listes blanches” d’œuvres de bienfaisance vérifiées pour aider les donateurs à distinguer les organisations légitimes des entités frauduleuses.
Résumé
Les sanctions contre ces fausses œuvres de bienfaisance démontrent le jeu de chat et de souris permanent entre les financiers du terrorisme et les forces de l’ordre internationales. Bien que ces actions perturbent des réseaux spécifiques, le défi reste que les groupes terroristes continuent de trouver de nouveaux moyens d’exploiter la générosité caritative. La nature internationale de ces stratagèmes nécessite une coopération sans précédent entre des pays qui ne s’entendent pas toujours sur d’autres questions. Pour les citoyens ordinaires, ce cas souligne l’importance de bien se renseigner sur les œuvres de bienfaisance avant de faire des dons, en particulier celles opérant dans des zones de conflit. L’objectif est d’arrêter le financement du terrorisme sans empêcher l’aide légitime d’atteindre les personnes qui en ont désespérément besoin.
Réaction publique
De nombreux donateurs qui ont fait des dons à ces fausses œuvres de bienfaisance ont exprimé leur choc et leur colère en apprenant que leurs dons finançaient le terrorisme au lieu d’aider les enfants. Les dirigeants de la communauté musulmane en Europe ont souligné que ces organisations frauduleuses nuisent à la fois aux victimes du terrorisme et aux œuvres de bienfaisance islamiques légitimes qui accomplissent un travail important. Certains travailleurs humanitaires craignent que la méfiance accrue envers les œuvres de bienfaisance opérant dans les zones de conflit ne rende plus difficile la collecte de fonds pour les efforts d’aide réels. Plusieurs grandes organisations de notation d’œuvres de bienfaisance ont annoncé des plans pour renforcer leur surveillance des organismes à but non lucratif internationaux.
Questions fréquentes
Comment les gens ordinaires peuvent-ils éviter de faire des dons à de fausses œuvres de bienfaisance ? Renseignez-vous sur les œuvres de bienfaisance par le biais d’organisations de notation indépendantes comme Charity Navigator ou GuideStar. Vérifiez si elles sont enregistrées auprès des autorités gouvernementales. Méfiez-vous des œuvres de bienfaisance qui vous pressent de faire un don immédiatement, qui ne fournissent pas d’informations financières détaillées ou qui utilisent des appels trop émotionnels sans expliquer précisément comment l’argent est utilisé.
Pourquoi les gouvernements ne se contentent-ils pas d’interdire toutes les œuvres de bienfaisance dans les zones de conflit ? Des millions de civils innocents dans ces régions dépendent de l’aide humanitaire légitime pour leur survie. Interdire toutes les œuvres de bienfaisance causerait des souffrances massives. Le défi est de distinguer les véritables organisations humanitaires de celles qui financent secrètement le terrorisme, ce qui nécessite une enquête minutieuse plutôt que des interdictions générales.
Que se passe-t-il pour les personnes qui ont fait involontairement des dons à ces fausses œuvres de bienfaisance ? En général, les donateurs qui ont fait des dons de bonne foi ne sont pas poursuivis. Cependant, une fois qu’une œuvre de bienfaisance est désignée comme soutenant le terrorisme, tout don ultérieur devient illégal. Les autorités se concentrent sur la poursuite des organisateurs et des dirigeants de ces fausses œuvres de bienfaisance plutôt que sur les donateurs trompés.